Le festival est terminé et la première phase de travail sur la rosace aussi ! Deux jours intenses ont été consacrés au dessin : voir article précédent. Les jours qui viennent de s’écouler ont été tout aussi intenses mais plus bruyants ! Il s’agissait de carotter les parties creuses de la rosace. L’aide mécanique est la bienvenue à cette échelle et permet d’économiser par la suite une énergie plus utile à la sculpture ! Le carottage s’est fait sur 9 cm de profondeur et un diamètre de 112, 142 et 162 mm. Au total, ce sont 223 trous qui ont été percés !
Un grand merci la société Hilti Dijon, par l’intermédiaire de M. Reboul, qui nous a plus que dépannés en nous prêtant le matériel adéquat au carottage de ces 215 trous. La machine est impressionnante et il faut être deux pour la manipuler, notamment pour la changer de place ! Attention il faut qu’elle entre jusqu’au bout !
Et enfin, le dernier trou est percé ! Samedi, juste avant que ne démarrent les discours d’inauguration… La joie explose !
Le résultat est plutôt surréaliste ! Serait-ce un décor d’inspiration locale ?
Pendant ce temps, Sophie commençait à sculpter les pénétrations de moulure :
Des photos sur l’article du Bien Public de dimanche. Et un grand merci à Jean-Michel Garcia, visiteur passionné, qui nous a transmis ses magnifiques photos :
Et bien sûr, la joyeuse bande n’a raté aucune occasion de passer un bon moment !